Camu-camu sauvage

LE CAMU CAMU DE FORÊT VIERGE OU « UNE COURSE CONTRE LA MONTRE »

Linus Pauling, deux fois Prix Nobel de médecine, s’intéressa le premier au camu-camu et à ses propriétés anti-oxydantes. Le camu camu neutralise les effets dévastateurs des radicaux libres. Le camu camu, (Myrciaria dubia, Myrtaceae), fruit d’un arbre tropical de la forêt amazonienne est considéré depuis 2003 comme un alicament de premier rang (aliment fonctionnel). C’est le fruit qui contient le plus de vitamine C au monde, près de 3550 milligrammes pour 100 grammes de pulpe, soit 2 à 3% de son poids de fruit frais sur branche. En comparaison, pour un poids similaire, l’acérola (Malpighia emarginata) ne contient que 1790 milligrammes et, si on le compare à l’orange (Citrus sinensis) le camu-camu contient 30 fois plus de vitamine C, 10 fois plus de fer, 3 fois plus de niacine (B3), 2 fois plus de riboflavine (B2) et 50% de phosphore en plus. Une surprenante étude brésilienne signée par K. Yuyama en 2001(in Acta Amazonica) souligne un niveau incroyable de 6112 mg de vitamine C pour 100 grammes de pulpe.

TRÉSOR DE LA FORÊT AMAZONIENNE

Maintenant, le fruit du camu camu est considéré comme un des trésors de la forêt amazonienne et de grandes plantations voient le jour pour soutenir le marché qui s’envole. Le fruit se récolte en fin d’année. Il est particulièrement fragile.
En effet, la vitamine C naturelle a la particularité d’être extrêmement volatile. Elle se dégrade à la chaleur, à la lumière, à l’air libre, jusqu’à disparaître totalement en quelques heures. C’est pour cela que la vitamine C naturelle n’est pratiquement jamais présente dans les aliments industrialisés ou dans les boissons que la grande distribution nous présente. Un simple flash de pasteurisation suffit à la détruire complètement. Les opérateurs de l’agro-alimentation optent le plus souvent pour l’ajout de vitamine C synthétique.

PROCÉDÉ ORIGINAL

Nous nous sommes attachés à maintenir un fort taux de vitamine C naturelle dans notre poudre de CAMU CAMU DE FORÊT VIERGE PACHACUTEC en extrait car nous nous livrons à une véritable course contre la montre pour sa préservation. Ce sont nos relations construites avec notre producteur de maca de terres vierges qui nous ont permis de construire un circuit de traitement particulièrement original et qui nous est propre. Le camu-camu est récolté en fin d’après midi. Les sacs de fruits sont alors chargés sur un camion pour voyager de nuit dans un petit village, situé à 4300 mètres d’altitude dans la province de Cerro de Pasco (province qui détient le record de la ville la plus élevée au monde). Les fruits sont alors dispersés sur des claies sous un hangar (donc à l’ombre) et ils sont alors livrés aux vents violents et froids qui se chargent de les déshydrater naturellement selon l’ancestrale méthode incaïque qui consistait à soumettre les bulbes, les tubercules ou les fruits à un cycle d’expositions alternées au gel et au soleil, méthode déjà appliquée pour nos petites racines de maca de terres vierges. Les fruits desséchés naturellement n’ont pas eu le temps de subir les assauts de la lumière, de la chaleur, du soleil. Ils sont alors redescendus pour être réduits en poudre. Il est bien évident que cette opération ne permet pas de conserver la totalité de la vitamine C naturelle, mais nous arrivons à en conserver la plus grande partie. Nous pouvons ainsi restituer nos extraits de camu-camu sans aucun ajout de vitamines synthétiques.

PRISE

Le CAMU CAMU DE FORÊT VIERGE PACHACUTEC est présenté en pilulier de 60 gélules (gélule biologique dosées à 350 milligrammes d’extrait). La prise est momentanée ou continue sur 30 jours. 2 gélules par jour.

CONTRE-INDICATION : strictement déconseillé en cas d’allergie à la vitamine C.