Maca Pachacutec Mix
Prix : 33,00 €
LA MACA PACHACUTEC MIX ne provient que de terrains vierges de toute culture, à plus de 4300 mètres d’altitude dans la Cordillère des Andes. La MACA PACHACUTEC MIX est non adultérée. Elle est certifiée par ÔKO (1er organisme certificateur allemand Bio), agréée comme Maca d’excellence par INBOMETRAKA, contre-analysée par un laboratoire indépendant français réputé.
100% pur, sans additif ni conservateur
Constituée de 40% d’écotype noir + 40% d’écotype rouge et 20% écotypes rares
Provenance : Cordillère des Andes (Pérou, Bolivie)
Aliment naturel
CONDITIONNEMENT : en poudre, disponible en double sachet hermétique, sous vide d’air. Poids net : 100 g. DLUO en cours
1 sachet = 33 €TTC PROMOTION dès 2 sachets !
2 sachets = 32 € l’unité soit 64 € (au lieu de 66 €)
3 sachets = 30 € l’unité soit 90 € (au lieu de 99 €) + port offert
4 sachets = 28 € l’unité soit 112 € (au lieu de 132 €) + port offert
OFFRE « GRANDE VITALITE »
10 sachets = 280 € + 11ème sachet offert (soit 83 € de remise cumulée) + port offert
PORT OFFERT dès 70 € d'achat, en France Métropolitaine
UNE PLANTE PARTIE À LA CONQUÊTE DU MONDE : APERCU HISTORIQUE
La Maca – Lepidium Meyennii Walp - est une plante appartenant à la famille des Brassicacées (famille des choux), qui pousse sur les hauts plateaux du Pérou à une altitude de plus de 4000 mètres. Son berceau historique se situe sur les rives du lac « Chichaycocha » (aujourd’hui : lac Junin). C’est une plante rescapée qui aurait pu disparaître de la surface de la terre car sa culture fut combattue avec la plus grande fermeté par la célèbre Inquisition des conquérants Espagnols qui la considéraient comme une plante maléfique aux pouvoirs démoniaques…
HISTOIRE
Lorsqu’en 1533, Francisco Pissarro et sa poignée d’hommes prirent possession du Pérou, ils restaient constamment sur leur garde craignant d’être empoisonnés par des plantes ou par une nourriture qu’ils ne connaissaient pas. De plus, ils constataient avec amertume que le bétail qu’ils avaient emmené avec eux par précaution, probablement stressé par le changement de climat, de latitude, ne se reproduisait pas et ne pouvait assurer la pérennité de l’approvisionnement en nourriture. Les Indiens Quechuas suggérèrent alors de donner quelques bulbes de Maca assurant aux nouveaux maîtres que la plante pouvait rendre la fertilité aux animaux. Les résultats dépassèrent les espérances : les truies avaient des portées de quatorze porcelets en moyenne, alors que dans leur pays d’origine, l’Espagne, elles ne dépassaient que rarement la dizaine, les poules pondaient et les coqs paraissaient insatiables…. Les Espagnols se dirent alors que ce qui était bon pour les animaux, était bon pour eux et ne pouvait qu’avoir des effets bénéfiques sur leur communauté. La soldatesque se livra alors à des exactions sur les populations féminines au grand dam des Quechuas qui n’avaient pas prévu ces débordements dus à cette remise en forme… La plante fut si appréciée, que le vice-roi du Pérou, Juan de Toledo, accepta un temps, qu’elle puisse servir comme monnaie d’échange pour payer le tribut au roi. Dès lors, les Indiens des hauts plateaux se lancèrent dans une culture intensive de la plante miracle pour payer les impôts qui augmentaient au fur et à mesure des appétits croissants des envahisseurs… Or la Maca est une plante extrêmophile, qui, lorsqu’elle est cultivée, perd petit à petit ses propriétés originelles et qui finit par apporter avec le temps, autant de bienfaits qu’un simple navet …. Par ailleurs, cette plante ne poussant qu’à une altitude très élevée, elle épuise durablement le sol en nutriments et autres substances essentielles et, selon les écrits du Père Barnabé Cobo et ceux des Chroniqueurs, les Indiens Pompush qui vivaient dans la puna du lac Chinchaycocha, (maintenant lac Junin), affirmaient qu’il fallait observer des jachères d’au moins trente ans avant de songer à replanter…. La Terre, « Pachamama » ne pouvant se régénérer en l’absence de végétation, d’humus… Car à cette altitude et sous ces latitudes, rien ne pourrit, tout se dessèche, les saisons sont indifférenciées : seules les pluies, le froid vif, le soleil sans ombre, et les vents violents règnent sans partage sur ces contrées défavorisées et sont les seuls, avec le Temps, à prétendre apporter les nutriments indispensables.
Cette perte de propriétés observée par les Conquistadors permit à l’Eglise d’organiser l’extinction de cette plante à l’origine de tant de dépravation, et de punir de mort tous ceux qui la cultiveraient. La Maca s’enfonça alors petit à petit dans l’oubli.
En 1960, une jeune étudiante en biologie, Gloria Chacon de Popovici, eut l’idée de ressortir la Maca de son purgatoire pour la présenter comme une plante susceptible de combattre la famine et la malnutrition. Sa thèse eut un grand retentissement en Amérique du Sud et elle fut à l’origine d’études approfondies qui se poursuivent depuis lors. Puis dans les années 1990, quelques bulbes atterrirent illégalement dans le laboratoire d’une société américaine qui s’empressa de prendre des brevets sur cette plante. Ce fut le point de départ d’un gigantesque procès où pour la première fois les méfaits de la bio piraterie furent révélés au monde. Puis Le président du Pérou, Alberto Fujimori, fit la promotion de la Maca au Japon en la présentant comme une alternative naturelle à une célèbre pilule « Bleue » destinée à favoriser la sexualité des seniors. Ce fut le point de départ de la conquête du monde par cette plante.
Les premières années d’exploitation furent les meilleures car la Maca ne poussait que sur des terres vierges et profitaient des substances que les terres avaient patiemment engrangées durant des siècles.
PRODUCTIVISME ACTUEL
Puis vers 2002, pour répondre à la demande mondiale qui ne cessait de croître, il fallu se résoudre à raccourcir les temps de jachères de dix ans à moins de six ans, puis trois et maintenant une année sur deux…et avoir recours de plus en plus aux engrais naturels puis organiques ou chimiques, la plupart des terres étant devenues totalement épuisées. En 2010, Les pesticides ont aussi fait leur apparition, des variétés de pucerons se sont adaptées aux cultures qui se font maintenant à des altitudes bien moindres : on trouve maintenant des champs de Maca vers 1800 mètres d’altitude et on ne désespère pas de la voir arriver en bord d’océan. Les coopératives agricoles se lancèrent très tôt dans une course au rendement et à la grosseur au détriment de la qualité. Les prix s’effondrent petit à petit et la Maca cultivée - sans grand intérêt phytothérapique - envahit peu à peu les étals des commerçants pour devenir la seule sur le marché à être offerte aux consommateurs. Le Pérou possède les meilleures universités agraires de toute l’Amérique du Sud. L’Université Nationale Agraire de la Molina a testé de nouvelles souches et des variétés de Maca noire ou de Maca rouge sont mises en cultures intensives. La zone historique agro-écologique de distribution s’est considérablement étendue : cette plante de la « Puna » qui ne poussait qu’à une altitude élevée est maintenant récoltée à des altitudes de moins de 2000 mètres et les étals de marchands se recouvrent d’écotypes noirs ou rouges, ou d’autres couleurs commerciales… Le temps où pour obtenir un kilo de Maca noire, il fallait récolter et trier presque une tonne de Maca normale est bel et bien révolu, les coopératives agricoles sortent les écotypes de belles tailles à la demande.
UNE ATTITUDE RÉSOLUMENT DIFFÉRENTE
L’attitude de KALLAWAYA DIRECT est résolument différente. Ses deux dirigeants fondateurs s’efforcent de s’approvisionner en Maca originelle : la MACA PACHACUTEC est la seule Maca d’origine de terres vierges à perpétuer les traditions ancestrales. Elle est la seule Maca à être récoltée sur des terres vierges garanties, sur des terres où la mémoire humaine n’a conservé aucun souvenir de culture quelconque. Pour ce faire, KALLAWAYA DIRECT loue auprès des notaires locaux, des terrains vierges situés en altitude (minimum 4300 mètres), qui seront distribués pour une année aux cultivateurs isolés (n’entrant pas dans les critères de sélection des principales coopératives) et qui ont notre confiance. Nous leur garantissons un prix d’achat bien supérieur à celui proposé par les coopératives agricoles locales. Le paysan, véritable partenaire « associé » est traité dignement et il mettra son point d’honneur à ne nous livrer que des petites Maca de qualité. Les bulbes obtenus ont la taille de petites fraises des bois et ne ressemblent en rien aux énormes « fraises espagnoles » proposées par les coopératives qui usent et abusent d’engrais divers, coûteux, endettant jour après jour, les communautés défavorisées.
Nous achetons ainsi en direct aux familles, évitant ainsi les écueils des intermédiaires. C’est ce que nous appelons « Réalités de Partage et de Générosité ». Les familles avec lesquelles nous travaillons en direct signent avec KALLAWAYA DIRECT un accord d’exclusivité. Nous demandons à consulter les actes notariaux pour nous assurer de la provenance de terres vierges. Parallèlement, nous nous investissons dans le développement harmonieux des communautés avec lesquelles nous entretenons des rapports étroits et d’amitié. Nous participons aussi à l’éducation de leurs enfants en payant les frais de scolarité.
PRISE
Les effets de la MACA PACHACUTEC sont sans commune mesure avec ceux obtenus par la consommation de Macas cultivées. D’un goût plus agréable avec des notes sucrées de noisette ou d’asperge torréfiée, il n’est pas besoin d’en consommer une grande quantité et une cure de vingt jours suffira pour en ressentir pour de longs mois, les vrais bienfaits sur l’amélioration de la mémoire, des facultés cognitives, sur la force physique et l’endurance, sur un meilleur moral préservé, sur un sommeil amélioré, sur une résistance accrue aux stress de toutes sortes. Il est clair que si l’ensemble de l’appareil locomoteur et psychique fonctionne correctement, tout le « reste » sera au zénith… La MACA PACHACUTEC n’est pas à proprement parler un aphrodisiaque mais elle contribue considérablement au bien-être et à l’amélioration des rapports au sein d’un couple. Deux à quatre sachets de 100 grammes répartis sur l’année suffiront à préserver une meilleure qualité de vie. La seule contre indication connue est celle d’une vulnérabilité aux cancers hormonaux dépendants. Il appartient aux consommateurs de vérifier avec l’aide et les conseils du médecin traitant, les antécédents familiaux. La Maca est une plante phyto-œstrogène et elle peut relancer le système endocrinien. La MACA PACHACUTEC se consomme mélangée à un breuvage quelconque (eau, lait d’amandes, de riz, d’avoine,…) ou mélangée à un yaourt ou du miel ou mélangée aux aliments. Une cuillerée à café bombée, soit environ 5 grammes, pendant vingt jours d’affilée, constitue la cure de base pour obtenir tous les bienfaits décrits par une littérature très abondante.
NOUVEAUTÉ
De récentes études effectuées sur les souris obèses par les universités de Harvard (Massachussetts) et celle de l’Ohio, aux Etats Unis, prouvent que la Maca de terres vierges serait un puissant régulateur endocrinien car il est admis par la plupart des chercheurs que la Maca de terres vierges inhiberait les effets dévastateurs de la prolifération de l’enzyme ALDH1A1, qui favoriserait l’accumulation de la graisse en zone abdominale, provoquant l’obésité ventrale tant redoutée par les femmes touchées par la ménopause. Une consommation régulière de maca de terres vierges, couplée à une activité physique quotidienne soutenue permettrait de conserver une ceinture abdominale sans accumulation adipeuse. Nous conseillons de pratiquer une trentaine de minutes de marche rapide et sportive deux fois par jours et nous sommes absolument certains que les résultats positifs seront au rendez-vous.
CONTRE-INDICATION : La prise régulière de MACA PACHACUTEC de terres vierges est strictement déconseillée en cas de suspicion d’antécédents familiaux comportant des épisodes de cancers hormono-dépendants, d’hyperthyroïdie, ou d’ hyper tension sévère. Se référer aux conseils de son médecin traitant. Ne dispense pas de visite médicale régulière. Eviter de prendre avec jus de fruit, pamplemousse ou agrumes. Conserver au sec à l’abri de la lumière et de l’HUMIDITE.